Marguerite Barankitsé, présidente d’honneur d’Enfants de l’Espoir

Cette grande dame du travail humanitaire, fondatrice d’une importante ONG, la Maison Shalom, a accepté de devenir présidente d’honneur d’Enfants de l’Espoir. Parce que la cause des enfants est son combat au Rwanda, au Burundi et qu’elle espère l’essaimer partout dans le monde ; et parce que, depuis quelques années, Marguerite Barankitsé a reconnu une communauté de travail et d’esprit avec sœur Marie Stella, qu’elle appelle « ma petite sœur ». Les deux femmes se sont rencontrées et sont devenues amies et commencent à tisser des projets ensemble, puisqu’elles partagent les mêmes valeurs d’humanité et d’espérance.

En 1993, cette enseignante burundaise assiste, impuissante, au massacre de 72 personnes dans son église et décide de se consacrer aux enfants rescapés.

Avec l’aide de mécènes internationaux, elle construit la Maison Shalom, vaste réseau d’écoles et d’hôpitaux, et transforme des camps de réfugiés en véritables villes où se développent des activités économiques…

Forcée de fuir son pays en 2015 et réfugiée au Rwanda, elle recommence à zéro ! « Nous élevons, avec tendresse et dans la dignité, une nouvelle génération. Plus de 50 000 enfants qui casseront cette logique de la haine dans la région des Grands Lacs », raconte cette femme élégante et charismatique de 66 ans.

Après une prise de parole à Genève lors d’une réunion des Nations-Unies sur les réfugiés, fin 2023, elle confie : « Ayons un rôle prophétique et dénonçons l’indifférence et l’ignorance qui tuent ! Il faut faire pression sur les dirigeants qui oppriment leur peuple afin que les gens puissent rester vivre en paix dans leur patrie. » Marguerite Barankitsé se bat notamment pour qu’en Afrique on ne brandisse plus les étiquettes ethniques qui préparent à l’exclusion de l’autre. Elle conclut avec conviction : « Même si j’ai vu les pires atrocités qu’un humain puisse infliger à son frère, ma foi m’empêche de désespérer et je crois sincèrement que l’amour triomphera. »

Cette grande dame du travail humanitaire, fondatrice d’une importante ONG, la Maison Shalom, a accepté de devenir présidente d’honneur d’Enfants de l’Espoir. Parce que la cause des enfants est son combat au Rwanda, au Burundi et qu’elle espère l’essaimer partout dans le monde ; et parce que depuis quelques années, Marguerite Barankitsé a reconnu une communauté de travail et d’esprit avec sœur Marie Stella, qu’elle appelle « ma petite sœur ». Les deux femmes se sont rencontrées (photo ci-dessous) et sont devenues amies, et commencent à tisser des projets ensemble, puisqu’elles partagent les mêmes valeurs d’humanité et d’espérance.

 

 

En 1993, cette enseignante burundaise assiste, impuissante, au massacre de 72 personnes dans son église et décide de se consacrer aux enfants rescapés. Avec l’aide de mécènes internationaux, elle construit la Maison Shalom, vaste réseau d’écoles et d’hôpitaux, et transforme des camps de réfugiés en véritables villes où se développent des activités économiques…

Forcée de fuir son pays en 2015 et réfugiée au Rwanda, elle recommence à zéro ! « Nous élevons, avec tendresse et dans la dignité, une nouvelle génération. Plus de 50 000 enfants qui casseront cette logique de la haine dans la région des Grands Lacs », raconte cette femme élégante et charismatique de 66 ans.

Après une prise de parole à Genève lors d’une réunion des Nations-Unies sur les réfugiés, fin 2023, elle confie : « Ayons un rôle prophétique et dénonçons l’indifférence et l’ignorance qui tuent ! Il faut faire pression sur les dirigeants qui oppriment leur peuple afin que les gens puissent rester vivre en paix dans leur patrie. » Marguerite Barankitsé se bat notamment pour qu’en Afrique on ne brandisse plus les étiquettes ethniques qui préparent à l’exclusion de l’autre. Elle conclut avec conviction : « Même si j’ai vu les pires atrocités qu’un humain puisse infliger à son frère, ma foi m’empêche de désespérer et je crois sincèrement que l’amour triomphera. »

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  • La Haine n’aura pas le dernier mot, par Marguerite Barankitsé et Christel Martin, éd. Albin Michel, 224 P., 16,70 €.
  • Renseignements : maisonshalom.org

* Photo sous licence Creative Commons.

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